UNE PASSANTE À FOULARD
EN POINTE SUR LA TÊTE !
L’esprit libre de tout souci !
il est prêt à éprouver,
La senteur de la félicité !
La mer, c’est à deux pas d’ici !
Chaque matinée, dès que j’entends ?
Un léger bruit, Provoqué,
Par le clapotis, de la marée !
Insensé, et comment ?
Cette agitation ! Me réjouis ?
Et depuis, une douce euphorie,
Joyeusement m’envahi !
En effet, le phénomène de la marée !
Découle, de mon point de vue !
Un théorème précis !
Afin d’adapter, une parfaite harmonie
Entre mon attitude,
Et mon état d’esprit.
Oui, vous avez bien compris !
Le tout signifie ?
Que cette passante gracieuse et jolie !
Elle ne va pas tarder
À passer, toute joyeuse, dans ma rue !
En connaissance de cause !
L’existence de chaque passage !
Est devenu, une apothéose !
Un avantage acquis !
Qui, métamorphose, mon esprit !
Et par définition, il pourra allonger,
Éventuellement, l’espérance de ma vie.
A priori ; Avant que tous,
Les riverains, se réveillent ?
Sitôt, après le lever du soleil !
Dans ma rue ; elle passe tôt,
Chaque matin, Près,
De mon petit, magasin !
Dès que mon cœur
Accélère sa cadence !
Je comprends,
Qu’elle n’est pas loin,
Quelle providence ?
vite, je me regarde ? Où j’en suis
Et si, le tout, me va très bien,
En revanche, Le coup de parfum,
N’est pas inclus
Je garde, le plaisant, pour la fin !
Bien entendu.
Pour lui signaler, que je l’aime !
Plus que le monde entier !
Il suffi de l’admirer, avec insistance !
Et en toute confiance, et sans abus !
Si elle cherche à s’échapper
À une existence étriquée
Je serais son ami ! à partager,toute la vie !
C’est l’évidence même, de mon esprit.
La voilà qui arrive à point !
Le teint, de son visage frais,
Et la peau satin !
Aucun point controversé ?
Quelle classe, quelle beauté !
Et quel archétype féminin !
Sa beauté lui donne !
Un ordre de grandeur,
Précis et inédit !
Sa fraîcheur, sa légèreté,
Et la brise matinale, de l’été !
Ils ne font qu’un, et bien défini.
L’allure joviale et le corps mannequin !
Dès que, je l’aperçoive, de si loin ?
Je refoule mes tendances.
L’espoir de ma croyance !
À mon cœur, revient.
Dès lors, Par-dessus bord ?
Je jette, ma crainte, du lendemain !
Son talent, ne peut passer inaperçu ?
Perceptible !
Qu’on peut le toucher de loin,
Ses lèvres veloutées,
D’une rouge ardent,
Sont larges et rondes !
Quand elle se mette à sourire !
C’est un autre monde !
Dieu est grand!
C’est là ! Où je veux rester
Pour l’éternité
Afin de parvenir, à mes fins.
Que Dieu m’entende ?
Oh, de son amour ! Combien, J’en ai besoin.
Lorsque elle parvienne, prés du magasin !
Une paie intérieure, me surprend ?
Mon cœur ne fait preuve, aucune illusion !
Un court silence me retient !
Inconscient de ma chance ?
Je me sens perdu,
Dépourvu d’imaginations ?
La première fois !
Quand elle m’a dit bonjour !
Bien avant, de ralentir sa cadence ?
J’ai entendu sa belle voix,
Comme un chant de bienveillance
J’étais convaincu, que son amour
Changera, un jour, le sens, de ma vie,
L’importance de ma joie, était telle !
Mon cœur criait comme un sourd !
Il a peur de l’amour !
Il grain ? Si, sa rupture,
Aura lieu un jour ?
Avant même, de savourer,
L’euphorie de cet amour ?
À son secours il m’appelle !
Et mon oreille ?
Ne l’entendait guère ?
Elle est occupée, par la fête de l’amour !
Son bonjour et plus,
Qu’un, poétique refrain,
Son foulard en soie
Est un grain de fantaisie
Oh, combien lui convient.
Jour après jour !
Mon âme et mon esprit
S’enrichissent de son amour !
Afin, de donner libre cours
À mes instincts.
Bien sûr ! À son style sublime,
Ni à son aspect artistique !
Je n’ajoute rien ?
Sa ligne esthétique est conçue !
Avec goût parisien,
Son corps métamorphose ? L’esprit,
Et l’archive des souvenir ?
De l’ homme sain,
Sa spontanéité incarne un style Asiatique,
Jusque au bout des ongles féminins,
Son attitude romantique !
Synonyme, d’un luxe fin,
Son regard, laisse rêver,
Toute personne ?
Qui croise son chemin. .
Le fond et la forme,
De ses beaux yeux !
Sont l’encre et les plumes ?
De un medium de jadis !
Quand elle laisse, son charme
Réagir, en sourdine !
Aucune personne ne devine
Ses astuces ?
Son sortilège souvent !
M’ordonne et m’oblige ?
À prolonger mon regard
Sur son corps génial et délice
Toujours j’ai envie de savoir ?
Ce trésor affectif et humain !
À qui, Il appartient ?
Quel talent et quel prestige !
Mon Dieu quel genre d′homme ?
Elle préfère, ou elle exige ?
Avec réserve, sans négligence !
Elle m’observe, en silence,
Mais avec soin !
Le sourire en coin
Dès qu’elle s’aperçoive ?
Que mes yeux en train,
De l’admirer, de haut en bas ?
Le paysage de son charme
est hors du commun?
elle sait que je l’aime très bien.
Ses joues et sa peau de velours
Sont bel et bien
Une légende ! Qu’on ne peut, l’évoquer
Sans attiser, le feu de l’amour.
Son passage quotidien,
Pour ma conscience !
Et un fidèle soutien !
Quand elle s’absente
Pour un jour ?
Insensé, répond mon cœur !
Mon âme me demande ?
Que faire ?
Si La déception, amoureuse ?
N’est pas en cours
En train de nous jouer?
Une mauvaise, tour !
Son regard parfois, sceptique
Pourquoi ? Je ne sais rien ?
Elle se méfie des cyniques?
Il faut, que je lui explique !
Que je suis serein !
Et ses préoccupations
Sont aussi les mien,
Et le battement excessif
De mon cœur, est un intime,
Oculaire témoin.
Son amour va-il un jour !
Réaliser ma vision
Oh, combien, de fois ?
Je me suis posée la question ? En vain ?
L’amour ne peut être ?
Ni forcé ni contraint.
Autant qu’on puisse en juger !
Elle sait que je suis préoccupé
Par son amour !
Mais elle garde, sa distance ?
À part son bonjour, quotidien,
Elle ne me dit rien ?
Mais les apparences,
De l’amour contemporain!
Exprime beaucoup de choses ?
Autrement dit ? Ne signifient rien !
Si on raisonne, par analogie, l
Dans son début, L’amour, est indécis ?
Il a besoin de temps !
C’est une question de patience
Et non pas, de références ?
Comme, il prétend, les anciens ?
de où, elle vient ?
Où elle va et quand elle revient ?
Son itinéraire brouille, un devin ?
Au milieu de la proximité du coin ?
J’ai interrogé une foule de riverains ?
En vain ? Sur elle, jamais, je ne saurai rien
Un beau jour et par hasard !
Le passage d’un camion,
A provoqué un vent brutal,
Qui va arracher son foulard ?
Au milieu de la chaussé !
J’ai couru comme un fou !
Après avoir, lui rendu son foulard ?
À ce moment là !
J’ai découvert son mystère ?
Quand j’ai échangé,
Quelque mot avec elle ?
Très vite j’ai constaté ?
Qu’elle est étrangère ?
Elle a du mal à s’exprimer ?
Elle ne sait parler
Que sa langue maternelle,
Et elle cherche du travail ?
Voilà, la fin de l’histoire !
J’ai lui proposer de l engager
Comme caissière ?
La joie dans ses yeux !
Elle a accepté, et avec un air jovial !
Avec le pouce droit,
Elle me signal, Que je suis génial !
Dieu sait combien de leçons ?
Que j’ai, à apprendre
À cette merveille.
Mon magasin est une petite librairie
Désormais, elle fait parti !
De ma ma vie !
J’espère qu’elle aura
Besoin, de mes conseils !
Dans un décor familier primaire !
Qui suggère la belle vie ?
Elle ne sera pas déçue !
A priori, on s’ennui Jamais,
Dans cette ville portuaire.
C’est le début de la fin ! Quand je dise :
Désormais, Je suis,
Son ami intime et son libraire.
Monsieur, KRIT ( mohaga)
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