Combler la chair puis aimer
Sauver l’âme d’une flamme sans faille
Espoir sans une rivière ni pont à traverser
Prêt de moi le feu brûle en année pour t’attendre
Je sais où tu vis, la route qui monte vers le soleil
J’ai posé près de l’arbre une caresse sur chaque branche
Et si mon chant silencieux n’adoucit pas le vent
Il faudra attendre une saison, revenir sur nos pas endurcis
Laver les mensonges et les rêves qui nous surprennent encore
Je vais pousser la porte comme ce souvenir
Donner du sens à ma solitude, laisser tomber quelques plûmes
car je n’ai plus peur maintenant
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