Sur une branche fragile…
Descente dans l’abîme
D’un matin déporté
Vers l’espérance ultime
D’un prélude avorté…
L’architecte du vide articule l’essence
Du souffle originel sur le pourquoi fripé
De la fin qu’il élide à l’égard du silence
Pour percer le tunnel d’un horizon grippé
Pas sans éclaboussure…
Le mouvement freiné
Par l’infâme brisure
D’un oracle enchaîné
La fureur du chaos demeurera démente
Seul l’écho d’un mensonge en effleure le fond
Montage diapos d’un décor qui fragmente
La mort quand l’âme plonge où la raison se fond
Son aveu c’est la Vie
Immergeant du contour
Et l’Amour qu’il convie
Comme essence du Jour
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