Les espaces se confinent en un bruissement d’eau
Un cours au son singulier, chante vie, unique pour moi
Nouvelles notes
Nouvelle symphonie
Ma face pomponnée à tête chercheuse souris tout rond
Du rouge baiser pour me marquer en toi
Un rouge affable ineffaçable qui te poursuivra
A moins que tu ne t’arraches les lèvres ou que tu nies l’existence des couleurs.
La nuit toutes les poussières tombent et malmènent le silence qui ne consent pas.
La nuit efface les prémices, les prodromes, les préludes, les sonates
Les notes s’envolent une à une pour rejoindre les étoiles
Et là
Et là
Je n’hésite pas
Je presse le pas
Ne cherche rien
A savoir
A savoir , quoi ?
Je ne résiste même pas
Puisque j’existe
Je te laisse te faufiler par la lucarne, comme un rai de lumière, me caresser les pieds sans un bruit et dans un repli infiniment grand de non-dits
Tu déposes ta présence en points cousus de toi et moi
Un envers
Un endroit
Un en vers
Un en droit
En droit de faire
Envers et contre tout.
Quelque part, quelqu’un a besoin de moi.
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