Quand les lumières s’éteignent
Le plaisir doit sans cesse être partagé
Car l’ivresse arrive au rythme de plusieurs cœurs à l’unisson
Il n’est jamais aussi apprécié que lorsqu’il est simple
Comme un repas copieux bercé par des dialogues
Parmi ce nombre de distractions importantes
Se cache derrière une vraie envie de vivre ensemble
Ne pas se soucier de soi, mais de leur vrai bonheur
Car ils sont devenus avec le temps ma seule force
Les amis et ces moments conviviaux sont ce qu’il te reste
Une fois les blessures d’amour ré-ouvertes par à-coup
C’est pourquoi je ne les remercierais jamais assez
Du bien que me procure le sourire de l’un d’entre eux
Cependant, viens comme toute dépendance la chute
Cet instant qui laisse un vide marqué au fer rouge
Il est très dur pour moi de ne pas sombrer
Je n’ai pas la clé pour résister à la déprime qui suit
Il est parfois bien facile de se trémousser entouré
Mais bien plus dur de vivre un lendemain seul
Quand les lumières s’éteignent, que le silence règne,
Il y a bien peu de mots pour décrire cette sensation
Par Ludo LackSpirit
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Joli soir Ludo,
L’hypersensibilité n’est pas facile à vivre. Comme je le dis souvent, il faut savoir s’entourer mais … comme tu l’écris … même entouré la solitude blesse …
Joli poème !
J’ajoute Vote, étoiles et … un gentil sourire ! 🙂
Courage Ludo !
Poétiquement
Rose ***
Merci beaucoup pour tes deux commentaires !!
Eh oui, je ne sais pas si c’est le nom qui colle vraiment à ce que je ressens mais effectivement, cela semble exacerbé chez moi…
Au plaisir de te lire également
Ludo
Je ne peux pas te dire encore, cher Ludo, je ne t’ai pas assez lu encore !
Je viens te souhaiter une bonne fin de soirée et comme je vois que tu viens d’éditer et bien … ” sourire”
Poétiquement
Bisous
Rose un peu en disperse ***