Dans la petite alcôve où il feignait de vivre
Le froid était mordant ce matin de janvier,
Confrontant son mal être apprenant à prier
Tout au fond de sa couche et à l’abri du givre.
Il était fatigué de chercher son chemin,
D’avancer pantelant vers de gris lendemains,
Fatigué d’espérer, de chuter, de rêver,
Mais que cherchait-t-il donc qu’il en vînt à crever ?
Il n’avait plus d’amis, plus de femme, plus de larmes
Perdu parmi les autres d’avoir manqué de charme,
Il s’était retiré pour panser son mal-être.
Il contemplait la corde qui devait l’emporter
La corde dessinée sur le mur de salpêtre
Comme un hommage immonde à son rêve avorté…
- Vues2483
- Aime0
Bonjour
Ce poème est juste “un exercice de style” il ne dépeint pas vraiment mon humeur non plus que mon caractère mais quelquefois la plume dérape peut être à cause d’une chanson entendue, d’une histoire triste ou bien d’un manque “conjoncturel” de perspective… Mais tout comme ma “petite” Rose je suis un battant et j’aime tendre l’outil et la main .°.
VM
j’aime ton exercice de style !!
Lorsque l’on cesse de croire il n’y a plus rien a espérer de la vie !
Mais bon ça c’est mon opinion !
Amitiés
Perceval