Déposée devant la porte d’une roulotte, allongée dans un panier d’osier, elle n’a que pour vêtement un pendentif doré. Recueillie et chérie par la femme la plus forte du monde, elle apprend l’école de la vie que son soleil inonde.
A tout juste 6 ans que du haut d’un grand chêne, elle saute de branche en branche sans éprouver de gène. Ses cheveux au vent, un large sourire aux lèvres, elle virevolte dans le temps dans un écrin d’orfèvre. A son cou brille la lumière d’un astre d’amour, qu’elle distribue s’en compter aux personnes qu’elle entoure.
Aujourd’hui, jour de ses 23 ans, dans son habit de lumière, elle se hisse fièrement en haut du chapiteau, pour sa grande première. Dans le grondement d’un roulement de tambour, un grand silence habille un public en contre jour.
Et dans un dernier envol, les yeux rivés au ciel, un ange part pour le paradis. D’une roulade folle, dans un froissement d’aile, s’entend le déchirement d’un cri.
Seul, derrière un grand rideau de velours pourpre, un clown se met à pleurer.
- Vues1827
- Aime0
superbe
bisous toi
mélodie
Merci, très heureux de revoir ton joli minois.
Bisous itou.
bien triste fin sur un bel écrit
bisous le nane heureuse de te retrouver
Bonjour ma Loupiotte, un plaisir que je partage.
Bises
Cette lecture très émouvante me semble donner une sensation de vécu.
Bonjour Tsiram, hélas à moi aussi.
Amicalement.
joli soir mon Didier
je t’ai relu de plus près
en commentaire tu sembles dire que c’est du vécu ?
( pour la mise en page, il faut demander carrément aux modérateurs )
gros bisous-tendresse de Rose
Bonjour ma rose, en effet une métaphore inspirée du vécu… La vie est ainsi faite …
Bisous.
touchée…
merci à toi
sylvie
Bonjour Sylvie.
De nada …
Passe un bel après midi.
Touchée en te lisant Saraz.
Doux jour à toi !
Merci,
Douce journée à toi également.
Très prenant ton poème, Didier !.
Comme ça me fait plaisir de te revoir enfin.
Bonne fin de soirée à toi et bisous de Rose revenue !
Bonjour Ma Rose, il y a peu de Rose qui savent fleurir à l’entrée de l’automne et tu en fais partie ;-)). Le plaisir est largement partagé ;-))
coucou Didier
voui ! voui ! il y a les marguerites jaunes qui fleurissent à la fin de l’automne, je crois
je me rends compte aujourd’hui seulement que je t’ai vraiment retrouvé
ps : peux-tu me conseiller pour la mise en page si tu es en ligne
j’en ai la mi-graine !
je te bise mon Didier
c’est un poème qui n’est pas anodin !
J’ai pensé a une roulade mais je ne suis pas bon gymnaste !
Merci pour ce touchant partage et pour tes com’s !
Amitiés
Perceval
Non en effet il ne l’est pas …
Bon week end mon ami.
touchée, coulée
merci
Lynda
Oups désolée…
Bon week end.
un poème qui tombe de haut
en plein dans le coeur !
tristesse infinie
mais le spectacle doit continuer , dit l’adage
merci