Oh Larme, qui saigne dans mon cœur,
As-tu perdu ton âme au profit du bonheur ?
Oh Larme, amie de la douleur,
As-tu enfin réussi à vaincre ma peur ?
Tu ne m’as jamais dit, s’il y avait un fruit,
Quelque chose qui a grandi, durant toute ma vie.
Quelque chose qui explique que tu ais disparu.
Oh Larme, j’ai une curieuse sensation,
As-tu pris la fuite devant mes déceptions ?
Oh Larmes, ne suis-je pour toi qu’un pion,
As-tu enfuis en moi les couleurs des saisons.
Reviendras-tu me voir, quand je serais loin de tout,
Seule dans le noir, prête pour toi et prête à tout .
. Délice.
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