Rimbaud rejoint en septembre 1871, Verlaine à Paris avec ce long poème, le “Bateau ivre“, qu’il va réciter au cénacle parnassien. L’accueil est enthousiaste ! Pourtant, écrira Louis Aragon, admirer le “Bateau ivre” est un signe de vulgarité de l’esprit…”. Sans partager ce propos, on peut admettre que le...
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Archive pour la catégorie : Non-poétique
L’évangile selon bibi.
D’accord ce texte est un peu long, alors bravo à ceux qui le liront jusqu’au bout. Et merci à ceux qui essaieront . Bon soit(e ?) …admettons qu’un dieu ait créé la terre. Etant sans aucun doute un esprit pourvu d’une imagination sans faille, il a aussi imaginé des créatures...
Au Moyen-Orient et aux Afghanes ***
Sur l’oeuvre des continents peints d’eau pincé des solicide pinceau telefilmé de rerouver l’autres fneons des surcils des lignes d’exil sur l’astres des figures sur l’arbres de pelicules au fixation retenant le neant teint d’espace d’impensé d’eternimes de l’ilot des domiciles sur l’expert assureur de long grammes de pussiecles...
A c’qui paraît : Minette
A c’qui paraît : Minette Alors c’est vrai Colette ? Vous avez une petite chatte maintenant ? Une p’tite boule de poils toute grise avec sa petite truffe rose… C’est un « gouttière » à c’qui paraît ?! J’l’tiens du père Paulin, vous savez n’ote gazette du coin… C’est pas lui qui donnerait sa langue...
bordel!
Au lieu de mettre des étoiles, critiquer les poèmes, ayez un peu de hargne sans commentaire, rien à dire de plus.
A vous …
A tous les membres de JePoême, je souhaite une beau week-end Pascal et je l’espère … ensoleillé …. Bonne continuation à vous tous. Pascale
C’était mieux avant !
espérant que vous ne vous épouffez pas et surtout, que vous morisagez cette scurrilité sans prétention digne d’un grimelin ou pire d’un fesse pinte. J’avoue que de peur de vous entendre diabliculer à mon endroit et soyez en certains je ne cherche pas à vous emboiser car je suis...
L’envol
L’envol M’en aller loin ! très loin Me perdre dans les nuages Ne plus craindre mes lendemains Me laisser bercer par le doux voyage Peu à peu mes souvenirs s’éffacent Je me laisse alors porter avec douceur Mon âme pour un temps s’envole avec grâce Espérant renaître...
Le français mourant
Le français est un velours qui habille le balbutiement des pensées. L’harmonie des mots bien ordonnés vêt d’élégance la parole. La symphonie des phrases bien écrites habille de poésie la langue. Œuvre retouchée durant des siècles, sa mélodie s’invite dans toutes les bouches. Français, tu te meurs ; on...
Alors comme-ça …
Alors comme ça ton Dieu te demande d’appuyer sur la gachette sans se douter que je suis déjà mort de rire !
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