Comme un long cyprès sous le vent
Lorsque le jour évanescent
Se joint aux humeurs de la nuit
Un désir tendre vient naissant,
Folâtrer avec nos envies.
Ma bouche audacieuse s’apprête
À grappiller quelques morsures.
Mes mains qui n’en font qu’à leur tête
Désordonnent ta chevelure,
Puis se hasardent sur tes fesses
En empourprant ton teint de rose,
Et délivrent une caresse,
Aux endroits où elles se posent.
Ainsi cette douce brûlure
Qui traverse ton corps ardent
Est un frisson qui s’aventure
De l’autre côté maintenant.
L’éclat qui brille dans tes yeux,
Annonce un émoi imminent.
Je sens que nous allons tous deux
Quitter le sol dans un moment.
Le temps soudain s’est arrêté…
L’instant se confond au plaisir.
Quelques mots d’amour enivrés
Se mêlent avec nos soupirs.
Voilà que ton corps chavirant
Sous le mien brûlant à présent
Remue, se tord et se détend,
Comme un long cyprès sous le vent.
Qui plie, s’agite en se cabrant,
Puis se redresse lentement,
Recouvrant, tout en ondulant,
Son calme et son tempérament.
Georges Ioannitis
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L’érotisme décrit par un homme… une approche différente de la femme mais j’apprécie cette façon d’écrire… Continuez… bonne journée à vous
Bonjour Georges …..laissez faire vos mains , elles trouveront la voie de ce ” je ne sais quoi ” 🙂
J’ai beaucoup aimé
Merci
quelle agressivité …..et vous qu’en savez vous de l’érotisme à part vous masturber les neurones
Merci Ödela pour cette réponse à celui qui se fait appeler Morelie. Le Personnage a été fabriqué pour l’occasion (avez-vous remarqué qu’il ne publie rien sous ce pseudo?). Je connais bien cet individu qui envoie sa poésie approximative sur ce site mais sous un autre pseudo (une somme d’argent dans une monnaie ancienne qui évoque une aumône). Le personnage a été éjecté d’un autre site littéraire pour sa malveillance à mon égard ainsi que celui d’une autre auteure. Les raisons de sa haine ne sont pas littéraires mais personnelles, il avait jeté son dévolu sur cette dernière, qui m’accordait bien trop de commentaires à son goût. Talleyrand disait ‘ Tout ce qui est excessif est insignifiant’, il aurait pu ajouter ce qui est vulgaire ne mérite pas qu’on en parle. Merci en tout cas, Ödela pour votre bienveillance. Amicalement, Georges.
Comme il est facile de calomnier les autres !
je vous plains sincèrement de manquer à ce point de discernement.
Merci Muse 31 pour ce gentil commentaire. Georges.
Cher Patrice B. alias Q.S., Alias Morélie (pour l’occasion), Je prends note que le site à retiré votre commentaire ordurier. G.I