Vous souriez
Marie
De mélancolie
Près du feu
Étincelle vos yeux .
Vous pleurez
Une douleur
Lancinante
Abaisse votre tête
Sur vos genoux .
Dans une éternelle prière
Vos doigts
Ensanglantent vos chairs
D’un temps qui ne meurt
Malgré l’outrage du temps
Vos yeux
Ont gardés ce reflet merveilleux
Le feu s’est consumé
D’horizons aimés
Demain c’est le printemps
Combien de fleurs
Au vent du matin
Ont été jetées à terre
Sont devenues poussières
Tout est chimère …
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