L’oppresseur
D’une faible lueur, éclairé,
Cet être me dévisageait.
Ses petites billes au regard noir
Mêlaient colère et désespoir.
De larges cernures purpurines
Dominaient de flasques babines
Coulant jusqu’à un menton fin.
Ses cheveux épais et hispides
Englobaient une face livide,
D’où s’échappait son gros tarin.
Dégoût, haine et déchirement
Étaient alors mes sentiments.
Ergo, j’ai détourné les yeux
Loin de ce miroir monstrueux.
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Bonjour Hill
J’aime bien ce genre de poème
Ses petites billes au regard noir
Mêlées colère et désespoir.
Ce n’est pas mêlaient ?
Et cerne est un nom masculin
Peut-être
Des cernes aux chairs purpurines
Dominaient de flasques babines
Amitiés
Brunot