La margelle de mon cœur déborde de larmes.
Et sa plaie forme de puits inonde mon âme.
De cette amère eau dénudée de tout charme.
Qui irrigue en moi certains sillons faits De lames.
Puis je ne suis plus qu’isolée plaie sans armes.
Et c’est parce que ma vie lavée n’est plus Qu’une amalgame.
De détresse et de méloncolie, je tire L’alarme.
Mais je crains que tout soit déjà flammes.
Bref un incendie entouré de larmes et vacarmes.
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Oh, ces larmes qui nous désarment !
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Merci infiniment de votre lecture!!!