Je regarde le monde qui s’écroule
Qui s’effondre sous le regard des foules
Si passives qu’on les croit résignées
Aux missives de leur mort annoncée
J’verse une larme de destruction massive
Dans ce fleuve que j’observe de la rive
Elle ira se jeter dans l’amer
Se mêler aux pensées éphémères
Dans les rues certains étalent les burnes
Qu’ils omettent de présenter aux urnes
Et les livres que personne ne lit
Nous racontent des rêves d’utopie
He ! Enfants ! Soyez non-consentants
Dressez-vous contre ces charlatans
Qui se disent être les bien-pensants
Et détruisent vos lendemains chantants
Vous, la seule conscience de vos parents
Votre terre se dissipe en fumant
Nous, le cataclysme ambulant
Qui restera coincé entre vos dents
Moi je partirais en courant
Fuir ce monde décadent
Car je n’aurais jamais le cran
De révolutionner l’air ambiant
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