L’Allah lie
Moi qui touchais le fond
Du fond de l’humanité
A petit feu détruit et brûlé
A ma face de facebook
Des amis qui te dégoutent
J’étais du bonheur exilé
Des hommes dégouté
J’étais de tous le plus dans la déche
J’ai trouvé la source de vérité
Voyant derrière le miroir aux hallalouettes
Les mensonges repris en millions
De Charlies qu’on a manipulés
Moi seul pouvais alors reconnaitre
Les visages des purs et des vrais
Etant de tous le plus dans la Daesh
Plus d’enfant de coeur ou de badboy
Plus d’Hollywood et de dancefloor
Quelques têtes à tourner
Et je serai le djihadboy
Et si vous arrivez à m’attraper
Pour soixante et dix ce sera le Paradis
Je ne suis plus de l’humanité
Que ce qui reste dans la lie
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Dans la dèche, au propre comme au figuré, matériellement et intellectuellement. Ce n’es pourtant pas une excuse d’aller jouer au bourreau.
J’ai lu jusqu’à la lie un écrit plutôt bien ficelé.
Amicalement
Bien mené ce bout d’hallali…
Juste pour compléter te tableau noir , lisez mon texte “j’écris ton nom, barbarie”
Bien à vous
Hallali
J’ai bu la coulpe amère jusqu’au noir hallali
Une courre de chiens m’a chassée de l’émeute
Dans mes sentes profondes
Où personne ne vit
J’ai mille fois payé pour mon inexistence
Et l’on me juge encor de ne point être là
Où il faut quand il faut
Hurlant contre les loups
J’ai pleuré des rivières à ennoyer les ruines
Ma vie s’est arrêtée en plein centre du temps
Et je ne vieillis point
Seul le corps se mutique
J’ai couragé à mort les esprits endormis
En me tenant au ciel toute cause perdue
On ne me parle plus
Je suis la déjà morte
Alors je cherche en vain la Clé de la Faucheuse
Seule sourde muette et aveugle à la vie
Car je veux disparêtre
Avant qu’on ne me tue.