A croisé mon chemin
Un triangle rouge au destin
Une gloire sans peine
Où coulent mes veines.
Chuchote le hibou dans son berceau
Un cheval à bascule sombre dans les mots,
Une fleur a violé mon coeur
Pour caresser mon noir bonheur.
Divorçant de mes démons
Mes goules dévorent mes ions,
Illuminant le paradis artificiel
Tenue et dompté par des ficelles.
Comme une poupée de sang,
Les yeux se cristalisent
Sur les lèvres du temps,
Où respire les odeurs de la marquise.
Les jouets ont cambriolé mon espace
Une fenêtre s’est ouverte dans la vie,
Balayant toutes mes traces
Où ma souffrance est devenue mie.
Et d’un tour d’horizon, étouffe le rivage
Les lumières survolent les plaines,
Virgule du cosmos foudroyé d’un nuage
Les racines enjambent mes peines.
Les étoiles sont des violons sans cordes
La nuque est roche dans ta main,
Lorsque je me sens si bien
Tord ma chair avec ces hordes.
- Vues1360
- Aime0
LA VIE NE VAUT RIEN
MAIS RIEN NE VAUT LA VIE!!!!
EM