Au parfum de l’étreinte,
Des flots moléculaires
Trouvent écho dans mon crâne,
Ils dissipent les rêves
Encore fumant d’inertie,
Avant de mourir,
Dans les méandres amnésiques.
Mais alors dis-moi pourquoi ?
Toi !
Subsistante de la nuit.
Oui toi !
Qui défie l’éphémère et l’oubli.
Toi !
Qui t’es tracée au levé du jour,
En emportant l’ineptie de mes sanglots,
Et l’ivresse des toujours…
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