Du langage des herbes aux arbres feuillage, l’odeur de terre des moissons Angélus reste en suspens.
La rivière verveine, venue de l’ambre des brumes, conte les sortilèges de Calypso, de ses mots-sable de rives d’eau.
Dans une nuit de fin de monde, entre les brisures de lune, un chat, pattes-velours, féline sur un silence de minuit.
Des lointains jardins de nébuleuses
Une étoile amoureuse
De la terre endormie
Télégraphie …
Du haut de ses quatre ans, il me transperce, Un regard pénétrant, que je ressens, Pas besoin de mot,...
Mon Père Il avait 89 ans lorsqu’il s’est éteint La maladie ne lui a pas laissé de répit Il...
Que faire pour avoir Une rose trémière forte Délicieuse au goût Si la tige rouille, Avec des tâches...
De l’aube jusqu’au soir, elle me ronge et me nuit Divine comédie, elle se joue de la vie Reine...
Sans toi, Cette vie que je mords, ce corps beau de l’affable Trop s’étale, corps nu passe, cédant l’ennui...
LE TEMPS DE L’AMOUR Vent mutin batifole. Sous jupons Regards fripons. Vent d’autan fanfaronne. Sous les flonflons Pointes talons....
(Si vous arrivez à lire entre les lignes c’est que vous ne m’en voudrez pas) Oh l’amour l’amour,...
Divine inconnue Muse, dans mes rêves si je ne m’abuse Muse, tu arrives telle une intruse Muse, à l’apparence...
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