Les falaises découpées
Telles guipures nacrées
Se dilétent à ses yeux voilés
L’air iodé perle
Sur sa peau telle la rosée
Ses lèvres ourlées
Offertes aux carresses de la borée
Frémissent d’un désir inavoué
Son corps tendu et hâlé
Ondule en écho à la houle
Loin de la foule
Elle s’enroule
Sur ses rêves.
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