Il y avait…
Il y avait dans ma tête
Des soirs de tempête
Où la violence des maux
Me faisait mal à la peau .
Il y avait des soirs de bruine
Sur mes souvenirs en ruine ;
Des nuits de tristesse
Qui criaient ma détresse.
Il y avait de ces faux matins
Où le coeur habillé de chagrin
Semblait incertain
De survivre au lendemain.
Il y avait ces moments de noirceur
Traversant mon âme sans pudeur,
Comme un vent glacial d’automne
Où la tristesse dans ses bras s’abandonne.
Mon coeur avait fait le serment
Qu’il n’aurait jamais plus de tourments
Et qu’il avait scellée la porte sous clef !
Le serment s’est brisé et la serrure éclatée !
Depuis…il y a dans ma tête
Des soirs de tempête…
Il y a des soirs de bruine
Sur mes souvenirs en ruine.
Il y a de ces faux matins
Où le coeur habillé de chagrin…
Il y a ces moments de noirceur
Traversant mon âme sans pudeur.
Impoésie.
Protégé par droits d’Auteur.
- Vues2030
le cœur est souvent rebelle. un poème qui me parle. Merci pour ce partage. Bonne soirée.
Comme vous avez dont raison .
Merci de me lire.
De la tête à la plume
du marteau à l’enclume
vous forgez plaisamment
c’est un enchantement .
merci.
Merci Rimenvrac, mais jamais comme vous !! 😉
Quel échappatoire cacher derrières des maux qui ce lisent dans vos mots…
J’ai lu tellement de douleur qui quand même garder l’espoir… Qui garde espoir…
J’ai vraiment aimer merci
Je crois qu’on a tous nos cachettes préférées sans quoi…
impossible de survivre.
Merci à toi. 😉