Harmonie
Comme deux cotylédons
De race pure
Rien n’échappe à ce don
D’ordre et de mesures
Tu te pavanes
Des notes harmonieuses
De tes jambes émanent
La terre est heureuse
Un tout qui concorde
Tout est très bien combiné
Rien ne déborde
Des mouvements agencés
Tu pars, tu bouges
S’accorde tout le tout
Toutes les couleurs sont rouges
Sont beaux même les bouts
Et quand tu t’arrêtes
Mon dieu, quelle statue!
Il n’y a rien qui se démette
Cohérence et vertu
On voit ta silhouette
Et tout parait homogène
Tu passes, on s’arrête
L’admiration n’est nullement vaine
- Vues4786
- Aime0
J’avais déjà lu silencieusement votre poésie
J’ai déposé un j’aime … cela aurait été un sacrilège de ne pas le faire
Belle journée
Paule