Le grand bois, d’un vert tendre, a brodé sa lisière ;
Et, semblant se griser de l’agréable odeur
Qu’exhale du vallon le beau genêt en fleur,
Un if, hôte des lieux, dresse une tête fière.
Mais, déjà, dans les prés le long de la rivière,
L’herbe a dû se coucher sous les pas d’un faucheur,
Sous sa lame acérée, et du foin, la blondeur
S’est parfaite au soleil une semaine entière.
C’est un passé lointain qui daigne revenir…
Si présent à mon cœur glanant le souvenir,
Que je revois encor ce robuste attelage,
Qui traîne en renâclant son imposant fardeau,
Et brusque ses brancards, sentant le pâturage,
Sur l’étroite cavée aux abords du cours d’eau.
- Vues5163
- Aime3
Il y a encore un con qui est passé
Un propos raciste ne reflète guère
L’image de littéraire poète ?
Puisque tu fais le juge et le gendarme
Où, es-tu ? Cher collègue
Pour arrêter ce con, comme tu prétends ? Quand il a vibré la page d’accueil
Afin d’immerger ses lecteurs dans le bonheur ?
Tu parles de qui et de quoi, au juste ?