Me voici devant un mur, mûre
Les tranchés qui le dessine
Sont sobres et pures
Sybillines
Les remparts devant moi se fardent
Sage conquérant des hasards
D’un boulet tombé
Une triste journée
Je croyais voir en elle
Une connaissance vaine
Pourquoi n’ai je pas écouté
Mon esprit plutôt que mon âme
Ô ma femme
Je sais maintenant la beauté
Qui sera toujours inégalle
Au canon aliénés
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