j’écris par la fenêtre où passent les saisons
des mots qui partiront pour leur plus beau voyage
que j’aime m’envoler sur ces mots qui s’en vont
vers le bel horizon que peignent tes sillages…
j’attends souvent la nuit pour enfin respirer
le parfum attendu de nos rêves luisants
le jour qui nous sépare pour mieux nous retrouver
semble parfois trop long dans mon coeur impatient !
alors je zèbre l’ire de mes piaffements aigres
puis prends le temps d’un souffle, où je me réintègre
dans le faste décor de ton âme, esplanade
d’où l’on voit s’affranchir des lestes qui chavirent
entre tes infinis quand tes élans déchirent
nos cellules sanguines qui pour ton nom s’évadent :
Liberté
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Joli poème qui me fait penser à “Liberté” d’Eluard.
Amicalement.