Les lumières claires des révèrberes, s’allument le long des boulevards
Elles se reflètent sur les pavés humides , place de l’Hôtel de ville, tard, le soir
Je revois passer les moments, inscrit comme un mirage, au fond de ma mémoire
Te voilà , marchant, seul au milieu des badauds
Sous les cieux qui vomissent des flots
Laissant la multitude dans l’ignorance et la déshérence, a corps perdu, fuyant le deluge
Toi seul, marchant serein , la douceur des mots comme unique refuge
Faouzi Lyagoubi
- Vues1457
- Aime0
Commentaires rècents