Quand les langues insaisissables du vent
Lèchent le noir, par une nuit froide d’hiver,
Ma plaie est rouverte suite au clown du temps
Et au cyclone des soucis qui secoue
Mes murs intérieurs:écroulement absolu en moi
Excepte cette muraille infranchissable de
Moi le seul au creux d’une ville de pierre
Peuplé à craquer,
où mes yeux ne reflètent que les nuées de mélancolie
Trempée dans un corps de peur même s’ils scrutent
La venue du printemps.
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Il scrute la venue du printemps, c’est déjà qu’il y a une fenêtre d’espoir. 🙂
C’est vrai car on a besoin toujours de l’espoir.