Ton ciel d’azur caresse mes lèvres
Je sors mon nez pour respirer ce parfum
Dans le lit où dévêtu de tant de souffrances
Nous l’avons souillé d’étreintes et d’oublis
Pars sur les chemins de jouvence renaître
Vole comme l’albatroce d’or et d’argent
Sillonne les mers loin des passions éphémères
Mes pensées cachées dans un tiroir de ton âme
Se figurent au sud de ton ventre humide et rond
Sublime sanctuaire où mes regrets s’élèvent en prières
J’écorne cette page qui ne sera pas feinte
Je te veux sireine au goût de miel
Prairie fertile où nos troupeaux pourront paître
Je te veux sans joie simplement avec cet amour
Simplement pour toujours
Biscarosse
Le 12/07/16
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